Archives par auteur Khalîl du Yémen

Conseil sur la participation des pieux au réseau Facebook (Ch Yahyâ)

بسم الله الرحمن الرحيم

Le Sheikh  حفظه الله  lisant une feuille envoyée dit :

Nous avons entendu qu’ils ont représenté le prophète صلى الله عليه و سلم  dans un film libertaire sur le réseau facebook.

La réponse :

Se marier avec une femme dont la situation est méconnue (Sh al Fawzân)

بسم الله الرحمن الرحيم

La question:

Puis-je me marier avec une fille dont j’ignore la ‘aqîdah. J’ignore si celle-ci est correcte ou non, car le shirk dans le culte voué aux grandes tombes est fortement propagé dans mon pays?

Le gouvernement (d’un pays islamique) impose à la femme d’ôter son hijâb (Ch al ‘Outheimîn)

بسم الله الرحمن الرحيم
La question:
Les autorités supérieures de mon pays ont décrété une loi imposant aux jeunes filles ainsi qu’à toutes les femmes d’ôter leur hijâb et tout particulièrement celui qui couvre le visage. Est-il permis d’obéir ? A savoir que celle qui s’y refuse se voit passible d’encourir une peine de prison, de se faire licencier ou d’être exclue de l’école.
La réponse :

Est-il permis au prédicateur de résider indéfiniment en terre de koufr ? Ch Yahyâ

بسم الله الرحمن الرحيم

Le Sheikh dit :

Un questionneur dit : Un prédicateur dit qu’il reste en terre de koufr afin d’enseigner ceux qui vivent la bas. Car si tous les mouslimîn faisaient la hijrah, qui donc appellerait les gens au Tawhîd et à la sounnah ?

Qui choisir entre le médecin pieux peu expérimenté ou le pervers aguerri? (Ch Yahyâ)

بسم الله الرحمن الرحيم

Dans les domaines de la douniâ comme la médecine, l’artisanat ou le commerce, nous trouvons souvent deux types de personnes. Une qui est expérimentée, preste et experte bien que perverse, et l’autre pieuse mais de faible expérience et moins douée que la première. Qui doit-on choisir?

La réponse:   

‘Oubeyd al Jâbiry autorise de faire des bid’ahs au nom de la sounnah

بسم الله الرحمن الرحيم
 
Voici l’audio d’une conversation téléphonique entre ‘Oubeyd al Jâbiry et un frère libyen dans laquelle il autorise de parler du mawlid (la célébration de la naissance du prophète صلى الله عليه و سلم), de faire des do’as en groupe et de faire le qounout durant salât al fajr. On peut aussi y constater son étrange façon d’émettre des fatâwa sans aucun dalîl et encore son manque de tact avec les questionneurs.

Parmi les shoubouhâtes des partisans des associations (5e partie) : « Elles sont une daroûrah pour la da’wah »

Cinquième partie Parmi les plus grandes ambiguïtés des partisans et promoteurs des associations en France, Belgique et autres, il y a qu’ils prétendent qu’elles sont une daroûrah et que l’Etat ne permet pas d’ouvrir un masjid ou qu’il n’est possible de faire da’wah si ce n’est par le biais d’une association. • Sheikh Yahyâ حفظه الله […]