بسم الله الرحمن الرحيم
Correction: Après avoir été informé que le titre (qui était: « Shaykh Al ‘Abbâd affirme la même chose que shaykh Yahyâ sur l’université islamique d’Al Madînah ») pouvait laisser penser que shaykh Al ‘Abbâd (حفظه الله) disait comme shaykh Yahyâ au sujet des hizbis qui y sont implantés, j’ai décidé de le changer (mais tu verras par la suite que c’est clair). Ce qui était voulu est ce qui est dit ensuite, c’est à dire que l’université n’est plus sur ce sur quoi elle était à l’époque de shaykh Ibn Bâz (رحمه الله) et ceci, ne le nie que quelqu’un qui ignore son état ou un hizbi khabith. J’en profite pour faire partager à mes frères salafis quelques paroles de shaykh Al ‘Abbâd (حفظه الله) pour éclaircir le fanatisme aveugle de ‘Ubaïd sur le sujet et le manque d’équité :
Le titre de la parole de shaykh Al ‘Abbad est : « la nouvelle ère de l’université islamique d’Al Madinah et les conséquences désastreuse de sa politique d’ouverture »
Shaykh Al ‘Abbâd a longuement critiqué l’état de l’université en affirmant que la différence entre l’époque de shaykh Ibn Bâz (رحمه الله) où elle était -et la louange est à Allah- à son âge d’or[1] et maintenant, est « comme entre le ciel et la terre ».
Il cite également qu’il s’y trouve désormais des « facultés dunyawiyyah » (et pourtant on l’appelle « université islamique ») et qu’il lui est arrivé « comme il est arrivé à Al Azhar[2] »
Il cite avec étonnement que l’université envoie certains élèves en Europe pour étudier l’histoire de l’Arabie Saoudite et la langue arabe!!
Il dit que les conférences étaient, lors de son apogée, sur les sciences législatives. Quand à maintenant, il y en mais a sans aucune relation avec cette science comme les conférences des ministres de l’éducation, de l’économie, …
Il critique également la venue de femmes pour des colloques en disant: « est-elle venue avec ses mahrams?! A-t-elle le visage couvert?! A-t-elle été préservée de se retrouver seule avec le chauffeur?! » Il dit également: « m’a informé une personne de ‘l’ordre du convenable et de l’interdiction du blâmable’[3] qu’il vit lors des journées du colloque une voiture de l’université avec à son bord le chauffeur et une femme sur le siège arrière le visage découvert. Et ce genre de choses, le responsable lors de l’âge d’or ne l’aurait jamais toléré (il veut dire shaykh Ibn Baz (رحمه الله)) »
Shaykh Al ‘Abbâd cite ensuite un journaliste qui n’a pas compris le din qui, après avoir cité l’entrée de sa collègue journaliste dans l’université dit « Sans aucun doute l’université islamique change vers le mieux… » Ainsi un khabith de ce genre voit le changement clair mais les hizbis comme Ubaid ou ses mourids acharnés belges et luxembourgeois feintent qu’elle soit restée comme à l’époque de shaykh Ibn Baz !!! Et la question est : qui a amené ces changements, barakallahu fikum ? Des salafis ou des hizbis traitres ??? Et quelle expression forte cite le shaykh : « Qui vante le marché si ce n’est celui qui fait du bénéfice ? » Allahu akbar. Mourrez de votre rage, hizbis !
Shaykh Al Abbad dit que cette journaliste « a écrit un article contre le niqab puis on l’a fait venir à l’université islamique. Qui peut croire cela[4] ?! »
Puis il précise : « le fait que les mashayikhs qui viennent à l’université pour une conférence ou une participation ne veut pas dire qu’ils agréent ce qui s’y passe comme contradictions (au din) »
Il explique également que des « faibles, très faibles » ont été acceptés en Magistère pour une raison incroyable : car sinon il n’y avait pas le nombre suffisant d’élève pour ouvrir la classe !
Il dépeint l’université en réponse à la journaliste précédente qui dit d’elle que l’université est devenue vivante après avoir été morte (elle rejoint donc ubaid pour en faire ses éloges !), shaykh Al ‘Abbad dit donc : « Quant à ‘la nouvelle vie’ de l’université, comme l’a prétendue la journaliste, l’université s’est affaiblie au niveau de sa spécialisation. Elle est donc en réalité dans une période de vieillesse et de décrépitude et nous sommes en deuil. Et j’ai certes grandi avec cette université et ai connu sa jeunesse et sa force quand j’étais jeune. Puis, lors de ma vieillesse, j’ai été témoin sa décrépitude et sa faiblesse. Et à ALLAH appartient l’affaire avant et après. Et ça m’attriste et me fait très mal de voir une université fondée sur la piété depuis le premier jour que se sont chargés de planter les deux nobles shaykh : Muhammad Ibn Ibrahi et ‘Abd Al Aziz Ibn Baz (رحمهما الله), Muhammad Ibn Ibrahim et ‘Abd Al Aziz Ibn Baz (رحمهما الله), depuis sa fondation, la voir après un demi siècle, en arriver à ce stade, exposée aux quatre vents et prise dans les cyclones et devenir un lieu d’émerveillement pour occidentalisés, journalistes, et même des femmes journalistes qui n’existaient pas il y a des années.»
Et enfin je repose la question :
Est-ce que ce changement vient de salafis ou de hizbis ?!!!
Et comme le répétait souvent shaykh Muqbil (رحمه الله) :
موتوا بغيظكم
Mourrez de votre rage !
