Archives par catégorie: Articles

Catégorie comprenant les articles version écrite.

Tawhid

Le sens du serment d’allégeance et parole autour de la sortie contre le dirigeant. (s. al Uthaimin)

Publié le par Abd Allah Al Aji
05
Fév

بسم الله الرحمن الرحيم

Question : Il est affirmé dans le hadith d’après le prophète (صلى الله عليه وسلم) : « Celui qui meurt sans avoir au cou de serment d’allégeance (bay’ah) pour personne meurt d’une mort de l’époque de l’Ignorance. » Et il est connu que la plupart des pays des muslimin à notre époque ne réalisent pas cet ordre, et qu’ils n’ont au cou aucun serment d’allégeance, pour de nombreuses causes comme : les troubles politiques, les renversements, etc. Que doivent donc faire les muslimin de ces pays pour sortir de ce péché et de cette menace qu’Allah te récompense en bien !

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Commerces/ transactions,Minhaj,Sujets contemporains

Ramener son patron mouslim aux prud’hommes (sh. Abou Amr)

Publié le par Abou Louqman al Kamerouni
05
Fév

QUESTION: un mouslim peut il ramener un autre mouslim (son patron) aux prud’hommes (tribunal du travail) parceque celui ci ne le paye pas selon les regles en vigueur dans le pays (la france) ? REPONSE: le mieux est qu’il n’y aille pas, mais si par exemple c’est pour une somme im portante, et qu’il a peur […]

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Famille

est il permis de debrancher l’appareil respiratoire d’un bebe gravement malade ? (sh. Yahya)

Publié le par Abd Allah Al Aji
05
Fév

question: il ya un frere qui veut savoir quoi faire car sa femme vient d’accoucher il ya 7 jours et le bebe a le cerveau qui ne fonctionne pas les medecins ont fait tous les tests et on conclu qu’il fallait debrancher l’appareil d’assistance respiratoire sous lequel est le bebe car il n’ya rien d’autre a […]

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La fitna de Cheikh Rabi' et ses adeptes,Réfutations

Réplique au docteur al Boukhari concernant l’université de medinah (Cheikh Hassan ar-Raymi)

Publié le par Abou Louqman al Kamerouni
04
Fév

بسم الله الرحمن الرحيم 


 Allah le très haut a dit :


 يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آَمَنُوا كُونُوا قَوَّامِينَ بِالْقِسْطِ شُهَدَاءَ لِلَّه

 وَلَوْ عَلَى أَنْفُسِكُمْ 

 أَوِ الْوَالِدَيْنِ وَالْأَقْرَبِينَ إِنْ يَكُنْ غَنِيًّا أَوْ فَقِيرًا فَاللَّهُ

 أَوْلَى بِهِمَا فَلَا تَتَّبِعُوا

 الْهَوَى أَنْ تَعْدِلُوا وَإِنْ تَلْوُوا أَوْ تُعْرِضُوا فَإِنَّ اللَّهَ كَانَ

 بِمَا تَعْمَلُونَ خَبِيرًا

 Ô croyants! Observez strictement la justice et soyez des témoins (véridiques) comme Allah l’ordonne, fût-ce contre vous mêmes, contre vos père et mère ou proches parents. Qu’il s’agisse d’un riche ou d’un besogneux, Allah a priorité sur eux deux. Ne suivez donc pas les passions, afin de ne pas dévier de la justice. Si vous portez un faux témoignage ou si vous le refusez, [sachez qu’] Allah est Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites.[1]

Parmi les répliques adressées au docteur al boukhari, celle de cheikh hassan ibn Qasim ar-raymi qui est très instructive et dont on tire de grandes leçons car ce savant est lui même un exemple de mise en pratique du verset cité plus haut. Ceci car ayant étudié à l’université islamique de madinah et chez des savants de saoudiya dont cheikh rabie et cheikh oubayd qui avait lui même dit « celui-la fait partie de mes élèves » il n’a pas pris la défense aveugle et fanatique de son cheikh (oubayd) comme certains, ni ne s’est fié au conseil de son cheikh (rabie) qui est de  ne pas rentrer dans la fitna comme d’autres il a plutot étudié l’affaire[2] et à pris la défense de la vérité.

Il avait dit il ya quelques temps « même si cheikh oubayd est mon cheikh la vérité est plus en droit d’être suivie ». Voici donc un bel exemple d’attachement aux preuves et à la voie des salafs à travers cet homme qui n’a pas suivi sa passion et ne s’est pas fié aux sentiments ni au grand nombre ni à la célébrité et la réputation de son cheikh oubayd al jabiri.

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Commerces/ transactions

Achat de marchandise volée (Sh. Yahyâ)

Publié le par Abd Allah Al Aji
04
Fév

بسم الله الرحمن الرحيم La question: M’est-il permis d’acheter une chose tout en sachant qu’elle est volée? La réponse: Il ne t’est pas permis d’acheter quelque chose à quelqu’un ne lui appartenant pas. Il ne t’est pas permis d’acheter une chose qui t’est harâm. Trad: Khalil ٍٍSource: Dammaj.fr

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Sujets contemporains,Vestimentaires

Que faire de ma télé et de mes pantalons? (Sh. Yahyâ)

Publié le par Khalîl du Yémen
01
Fév

بسم الله الرحمن الرحيم La question: Que doit faire celui qui possède une télévision (après avoir fait tawbah)? La réponse: Il la casse! (Puis tout le masjid se mit à rire pour cause de cette réponse brève claire et directe). C’est vrai, car il est obligatoire de faire disparaître le blâmable. Autre question:  Et que […]

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Les maftouns francophones

Liste de hizbis francophones qui étaient à Dammâj

Publié le par Khalîl du Yémen
27
Jan

بسم الله الرحمن الرحيم

Liste de hizbis francophones
qui étaient à Dammâj

(liste modifiable)

Comme cela n’est caché à personne, cette fitnah infecte qui sévit depuis plusieurs années fut cause de grande division entre les frères salafis de tous pays. Cette hizbiyah possède ses têtes et ses soldats travaillant pour sa propagation et sa lutte acharnée contre les gens de la Sounnah à Dammâj ou ailleurs. Leur champ d’action est international afin d’induire les gens en erreur et de les tromper par les moyens les plus fourbes qui soient. Leurs principales armes sont le mensonge, le talbis, la tromperie, qui sont comme l’a dit al imâm al Wâdi’y رحمه الله les piliers de la hizbiyah.

Donc voici la liste de certains de leurs soldats parmi les frères  de France (ou francophones) partis du centre de Dar al Hadîth à Dammâj  de par eux-mêmes ou la suite d’une expulsion.

Il se peut que certains disent: « Qui vous a devancé pour dire de ceux là qu’ils sont des hizbis? » Nous dirons que nous avons  interrogé Sheikh Yahyâ حفظه الله directement après un dars.

La question:

Des frères de France interrogent sur certains individus qui étaient à Dammâj qui sont rentrés en France après avoir été renvoyés du centre. Ils donnent actuellement des cours payants (on visait par là Ibrâhîm Abou Talhah le malien de Bobigny), est-il permis d’ y assister?

Le sheikh  répondit:  

Qu’ils donnent des cours payants ou gratuits il ne faut pas aller  vers eux. Tous ceux qui sont sortis d’ici renvoyés ou étant maftounes sont des hizbis, car je jure par Allah que s’ils avaient voulu le khayr ils ne se seraient jamais laissés entrainés dans cette fitnah (des propos dans ce sens). Fin de parole.

Le Sheikh a également dit (de façon générale) :

Parmi les signes des hizbis à notre époque, qu’ils mettent en garde contre Dammâj!!!

Nous avons concerté le sheikh pour diffuser cette liste et nous a dit que si on voulait on pouvait le faire en nous laissant carte blanche.

A savoir que ces scélérats sont très nombreux mais nous nous contenterons des plus connus et des plus actifs à notre connaissance en ajoutant certains de leurs faits afin de démontrer leur manque de droiture.

Voici leurs noms:

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Minhaj

Citer les bonnes actions de la personne lors de la réplique (muwâzanah) (s. Al ‘Uthaïmîn)

Publié le par Abd Allah Al Aji
22
Jan

بسم الله الرحمن الرحيم Question : Il dit (c’est-à-dire ‘Adnân ‘Arûr) : cela fait parti de l’équité et de la justice lors du conseil et de la mise en garde contre les innovations et ses gens de mentionner leurs bonnes œuvres à côté de leurs mauvaises… Shaykh Al ‘Uthaïmîn (رحمه الله) répondit : Je te dis : Non ! Non ! […]

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Minhaj

Signe de la hizbiyya: écrire des pseudos-répliques sous des noms inconnus!

Publié le par Abd Allah Al Aji
22
Jan

بسم الله الرحمن الرحيم

Nous parlerons dans cet article d’une des épreuves qui ont touché les rangs des muslimin et plus particulièrement ceux des gens de la sunnah : les pseudos-répliques d’inconnus.

Dans les fitan qui ont précédés comme celles de Fâlih, d’Abu l Hasan, ‘Abd Ar Rahmân ‘Abd Al Khâliq et bien d’autres, il y eut ce point commun dans la guerre de la hizbiyyah envers les salafis et la salafiyyah. Pour celui à qui Allah a accordé de la clairvoyance, l’affaire est simple lorsqu’on voit des « répliques » de gens qui se cachent : ils sont du côté du faux. Ceci car le salafi dit la vérité et ne se cache pas.

Abû Fîrûz ‘Abd Ar Rahmân l’indonésien (حفظه الله) de Dammâj a dit dans son livre (التجلية لأمارات الحزبية)[1] regroupant les signes de la hizbiyyah :

Le quatre vingt deuxième signe : le fait d’agréer la participation d’écrivains inconnus pour tenter de frapper la da’wah salafiyyah.

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