‘Abdullah Mary al ‘Adani et la jam’iyyah (l’association) Al-Bandar

بسم الله الرحمن الرحيم

‘ABDULLAH MAR’Y al ‘Adani

et l’association AL BANDAR 

Ecrite par le frère Abu ‘Ammâr Yassir ibn Thabit ibn Zayn al yafi’y

Introduction.

الحمد لله الصلاة و السلام على رسول الله أما بعد

Allah a dit dans son noble livre:

وَمَنْ أَحْسَنُ قَوْلًا مِمَّنْ دَعَا إِلَى اللَّهِ وَعَمِلَ صَالِحًا وَقَالَ إِنَّنِي مِنَ الْمُسْلِمِينَ

Et qui profère plus belles paroles que celui qui appelle à Allah, fait bonne œuvre et dit : “Je suis du nombre des Musulmans ?” (les détaillées v33).

Allah a démontré dans ce noble verset que la da’wa vers Lui et vers Sa religion et que l’application de la Sounnah de son Prophète صلى الله عليه و سلم font partie des meilleures œuvres que peut accomplir le serviteur. Car cela comprend l’enseignement des ignorants et l’exhortation aux inattentifs ainsi qu’à ceux qui se détournent et également une confrontation avec les gens du faux. Donc celui à qui Allah a accordé cette énorme fonction se doit de prendre grand soin à ne pas la détériorer par les vils biens de ce bas-monde ainsi que par les intentions corrompues. Mais plutôt qu’il se serve de sa sincérité, de sa véracité ainsi que de son suivi authentique comme fer de lance dans sa méthode et dans sa da’wa celle à laquelle il appelle.

Et parmi les plus grandes causes qui contribuent à la stabilité sur le bien et aussi parmi ce qui empêche de se tourner vers tout ce qui contredit cela: Être satisfait par la vérité et le minhaj salafi est une des plus grandes causes qui contribuent à rester stable sur ce bien et à éviter de se tourner vers tout ce qui vient contredire cela.

Et c’est parce qu’Abdullah Mar’y n’a pas été convaincu auparavant par le minhaj salafi que tu vois sur lui apparaître aujourd’hui les signes de la dérive jour après jour. Son amour des projets commerciaux l’a dominé à tel point que son masjid est devenu une sorte d’entreprise commerciale regroupant un grand nombre d’activités marchandes diversifiées . D’ailleurs, il a aussi tenté d’ouvrir un autre institut « pour les langues et l’informatique » à al Diss al Sharqiyah[1] pour les non-arabes afin de les attirer vers lui et ramasser les grosses monnaies[2]. Sans pouvoir cependant y parvenir.

Abdullah a vécu une longue période préparant ce complot à l’encontre de la da’wa salafiyah afin de la détourner de ce sur quoi elle était comme voie sérieuse. Cette noble da’wa pour laquelle l’imam al Wadi’y a livré sa vie pour la consolider à tel point qu’elle est devenue comme une grande route claire.

Cependant, Allah est sauveur de Sa religion et protecteur de la Sounnah de Son messager صلى الله عليه و سلم. Aucun individu n’est sorti de la Sounnah et ne s’est désavoué de ses gens sans que ces derniers ne s’opposent à lui avec pour armes les arguments et le dévoilement. Alors ils ôtent les voiles[3] et démontrent leurs manigances afin qu’ils soient un exemple pour leurs suiveurs.

Parmi les complots d’Abdullah Mar’y et son travail de corruption contre cette da’wa bénie, son incitation et sa fatwa aux gens de la Sounna à al Diss pour ouvrir une jam’iyyah[4] afin de lutter contre les injustices que subissent les pêcheurs d’après leur prétention.

Nabil Houmr [5] et son équipe gonflaient Abdullah Mar’y et faisaient de lui la référence unique, celui vers qui on revient en matière de fatwas dans tous les sujets délaissant ainsi le contact avec les grands savants des gens de la Sounnah au Yémen. Abdullah Mar’y a donc fortement influencé les jeunes de al Diss avec ses fatwas et son incitation. D’ailleurs beaucoup d’entre eux furent atteints par la fitnah de cette jam’iyyah et se sont mobilisés pour la concrétiser, tout cela sous les yeux bienveillants de Abdullah Mar’y. Cependant Muhammad Sa’d[6] le directeur de la jam’iyyah n’était pas d’accord au début de l’affaire que l’on dise que cette jam’iyyah était du manhaj salafi. Alors son remplaçant (vice président) tenta de le convaincre en cela mais ce dernier mais en vain. Alors il confia l’affaire à Abdullah Mar’y qui se mit à chercher à le convaincre par tous les moyens possibles jusqu’à ce qu’il arriva finalement à son but.

Abdoullah ne cessait d’être derrière eux, de les stimuler et de leur réclamer de l’argent de cette jam’iyyah.

Lorsque les adhérents de cette jam’iyyah furent conseillés dans ce qui touche au sujet des assurances, que cela n’était pas permis (en Islam) et que cela équivalait à manger l’argent des gens sans droit et que les savants avaient interdit cela dans leurs fatwas, lorsqu’ils se sont vus dans l’incapacité de répliquer en cela alors le bras droit (du directeur de la jam’iyyah) dit : « nous allons exposer l’affaire au sheikh Abdullah Mar’y ! » tout en sachant qu’il leur trouverait une issue dans cette impasse. Donc, lors de certaines réunions de la jam’iyyah, certains pêcheurs débattaient certains sujets comme par exemple cette affaire d’assurance générale; est-ce que cela est licite ou non?

Alors le directeur disait: «Ne demandez pas à propos de cela car nous sommes plus à même d’y trouver une solution. Nous avons déjà exposé toutes les activités de la jam’iyyah au sheikh Abdullah et il approuva tout et ne blâma rien ! ».

Également, il y eut des divergences entre les pêcheurs sur certaines autres activités se trouvant au sein de cette jam’iyyah; est-ce qu’elles sont permises ou non? Et ils surent que les gens de sciences ne les autorisaient pas, alors ils exposèrent l’affaire à Abdullah Mar’y et ils lui dirent : « Certes les gens de sciences n’autorisent pas ces choses et disent qu’elles sont illicites ! » Alors il leur répondait : « Nous allons y jeter un coup d’œil. » Alors ils lui disaient : « Alors on suspend la collaboration avec cette jam’iyyah ? » Et il leur disait : « Non ! Continuez et moi je vais chercher en ce qui concerne ces points. » Mais il ne leur rapportait rien du tout. Et c’est comme cela que les infractions envers la législation islamique eurent lieu dans cette jam’iyyah et tout cela sous l’aile protectrice de Abdullah Mar’y. Le plus désolant dans tout cela c’est qu’elle fut fondée sous le nom des gens de la Sounnah sans aucun blâme en cela. Tout comme nous nous désolons d’y trouver des individus parmi les amis de Nabil Houmr et qu’ils prirent soin de cacher l’affaire de cette jam’iyyah au sheikh Yahyâ, le conseiller de confiance, qu’Allah le préserve.

Ils ne se sont pas seulement contentés de cela mais ils ont aussi cherché des fatwas afin d’appuyer cette jam’iyyah[7] et de faire tomber toutes paroles allant à son encontre à tel point qu’elle poursuivit son parcours en toute sérénité.

Alors lorsque les gens de al Diss descendirent à Dammaj en visite, l’un d’entre eux dit : « j’allais en compagnie de Nabil Houmr à Abdurrahman al’Adani afin de l’interroger à propos de la jam’iyyah al Bandar mais il ne répondit pas. Et le plus surprenant c’est qu’il ne me demanda pas comment elle était et qu’elles étaient ses clauses. C’est comme s’il la connaissait déjà. Alors il voulut se préserver lui ainsi que son frère et renvoya la question afin de fuir de la réponse et dit : « demandez à sheikh Muhammad ibn Abdillwahhab al Wasaby  »! Et comme cela est de coutume lors des visites à Dammaj, les visiteurs exposent leurs questions à sheikh Yahyâ qu’Allah le préserve et la question au sujet de cette jam’iyyah fut enlevée sachant pertinemment qu’il ne l’autoriserait pas. Puis lorsqu’Abdurrahman al’Adani descendit en visite à Hadramawt il fût interrogé au sujet de la jam’iyyah par Muhammad ibn Tarch qui lui exposa tout ce qu’elle contenait comme clauses et même le sujet des assurances. Abdurrahman lui répondit alors: « cette jam’iyyah ne contient rien (d’illicite) » !!? Donc de là il fut découvert que sa fuite de cette question auparavant n’était que pour se préserver.

Et lorsque les transgressions en religion de cette jam’iyyah apparurent, Nabil Houmr et son équipe dirent : « nous ne savions pas grand-chose de cette jam’iyyah et elle n’a pas de lien avec la da’wa. Elle n’est qu’une jam’iyyah de dunia comme les autres ! »

Lorsqu’un des compagnons de Nabil Houmr alla à Dammaj, il fut l’interrogé au sujet d’al Bandar. Une grande peur s’empara alors de lui et il tenta de fuir le sujet par crainte que sheikh Yahyâ, qu’Allah le préserve, n’en soit questionné. Aussi une certaine personne incita le directeur et son remplaçant à participer dans l’ouverture de sessions de cours (en religion) d’été et ces derniers acceptèrent après une dure insistance. Tout cela pour la faire apparaître comme étant une jam’iyyah salafiyah et qu’ils contribuaient à la da’wa vers Allah sans que pour autant la jam’iyyah ne les occupe. Cependant Allah rendit vain leurs espoirs et dévoila leur cas.

J’ai exposé ces points car cette jam’iyyah fut fondée en cachette et sur le complot et la tromperie envers la Sounnah et ses gens. Ce sont des gens au cœur malade qui bâtirent leurs espoirs et leurs rêves sur cette jam’iyyah. Cependant Allah refoula la ruse des haineux et anéantit les ruseurs comploteurs.

Cette jam’iyyah fut très acceptée auprès des gens et de cela de façon inégalée. Et comment cela ne le serait pas alors que le directeur, le remplaçant, le trésorier ainsi que les membres, tous se prétendent être de la Sounnah et que toutes les activités de la jam’iyah sont basées sur cette prétention.

Elle envahît un grand territoire en peu de temps à tel point que les autres jam’iyyahs autour d’elle furent sur le point de se désister. D’ailleurs d’autres personnes d’autres contrées tentèrent de s’y inscrire. Il était prétendu qu’elle combattait l’injustice, qu’elle était basée sur l’équité et qu’elle était démunie de toute infraction à l’encontre de la législation islamique. Elle ramassa de grandes sommes d’argent en peu de temps[8] à tel point qu’elle était citée comme référence. Mais quel fût le résultat?

Lorsqu’elle tomba dans les péchés et qu’elle tenta de s’en défaire par les fatwas de Abdullah Mar’y et par tout ce que insuffle shaytane dans les poitrines et comme embellissement du faux, comme cela va être cité dans ce qui va suivre à propos du remplaçant du directeur de cette jam’iyyah, Allah l’a anéantie pour leurs péchés !

Et maintenant nous allons exposer un résumé de cette jam’iyyah et de ses dégradations :

Ensuite elle mit en place les taxes et les assurances et plaça l’argent dans les banques. Egalement les votes furent mis en place et autres infractions a tel point que le frère Muhammad Sa’id ‘Umeyran a dit : « Si tu analyses les clauses de al Bandar tu t’apercevras que ce sont des clauses de jam’iyyah hizbiyyah ! » Et cela il le disait auparavant à l’époque où Nabil Houmr et ses partisans tentaient de la faire passer pour une jam’iyyah salafiyah.

Cette jam’iyyah s’est certes dégradée et ne cesse de dégringoler à cause de son animosité pour la Sounnah et ses gens et à cause de son secours pour les hizbis.

Et les gens dotés d’expérience avaient déjà anticipé que cette jam’iyyah irait à sa perte et que son directeur ainsi que son remplaçant couraient à l’humiliation, et le refuge est auprès d’Allah. A part si Allah leur accordait de Sa bienfaisance et de Son pardon. Et tout cela à cause de ce qu’ils ont pris comme argent des gens pour le placer dans leur fabrique de glace, et ils furent dans l’impossibilité de rembourser et ne purent réaliser ce projet.

Et lorsqu’ils virent que les gens commençaient à interroger sur ce qu’était devenu leur argent dans cette fabrique car cela faisait des années que le projet était en place et qu’aucun résultat n’était encore parvenu, alors les responsables de la jam’iyyah se mirent à construire les fondations (de la fabrique) sur une portion de terre afin de calmer les esprits des investisseurs (ceux qui avaient investi pour avoir des parts). A savoir que le gouvernement leur avait déjà proposé (à l’association al bandar) depuis longtemps une portion de terre pour y bâtir la fabrique de glace afin de mettre un terme au problème entre les investisseurs et l’assocation. Cependant al Bandhar refusa cette solution et persista afin que la fabrique se trouve à al Qarn (nom de lieu). Après ce refus, elle revînt sur ses pas et obtînt une portion de terre hors des eaux de al Qarn et elle y bâtit ses fondations.

Et cela, comme nous l’avons déjà dit, afin d’endormir les investisseurs pour que ces derniers s’imaginent que le travail a déjà commencé. Malgré le fait que certaines personnes dirent : « nous craignons que ces fondations ne soient pour la nouvelle maison du directeur ou de son remplaçant. »

Alors la jam’iyyah fut contrainte de vendre certaines de ses voitures et beaucoup de ses membres démissionnèrent. Parmi eux certains adhérèrent à d’autres jam’iyyah et d’autres ne le firent pas car ils savaient qu’elles sont bâties sur la consommation injuste de l’argent des pêcheurs. D’autres qui restèrent adhérents ne leur donnaient plus le fruit de leur pêche mais le donnaient à d’autres par le biais de gens non affiliés à al Bandhar.

Cette dernière fut aussi dans l’incapacité de payer un million de riyals yéménites pour la taxe du gouvernement. D’ailleurs le directeur avait dit clairement qu’il voulait se retirer de cette jam’iyyah lorsqu’il vit qu’elle se dégradait et qu’il s’enfonçait dans une grande impasse. Mais cependant il dit qu’il ne pouvait pas sur le champs car les réclamations des investisseurs étaient tournées vers lui.

Al Bandar avait aussi fait des emprunts auprès de certaines banques, et cette information provient d’eux-mêmes.

Nous allons aussi rappeler certains actes d’animosité de cette jam’iyha à l’encontre des gens de la Sounnah injustement :

Le remplaçant disait à l’un des responsables : « Je désire vraiment que soit changé l’imam du masjid ‘ahl asSounnah’ ! »

Nabil al Barmaky[12]a dit également à ce même responsable : « Prends ce que tu veux dans le magasin. Il n’y a rien entre toi et moi comme compte en dehors de ce qui est dans le livre de compte ! » Et cela afin que l’imam du masjid ‘Ahl as Sounnah’ soit changé.

Al Bandar prétendit plusieurs choses contre les gens de la Sounnah pour les raisons les plus insignifiantes afin de leur faire payer des amendes ou de les faire tomber en prison et de les empêcher d’appeler à Allah.

Le remplaçant s’est même mit en collaboration avec certains communistes afin de porter plainte contre le masjid ‘Ahl as Sounnah’ en disant qu’ils font telle et telle chose et afin que celui-ci leur soit retiré.

Ils versèrent tout ce qu’ils avaient dans leur cœur comme haine et mépris et comme colère sur les gens de la Sounnah.

A tel point qu’il se produisit beaucoup de chahut dans les contrées à cause des plaintes déposées par al Bandar contre les salafis dans les tribunaux. Cependant Allah déjoua leurs desseins et mit un terme aux espoirs d’Abdullah Mar’y qu’il visait dans al Diss.

Cette jam’iyyah ne cesse de se dégrader jour après jour. Et l’homme réfléchi sait que ce qui a atteint cette jam’iyyah, tout particulièrement, comme problèmes par rapport aux autres jam’iyyah n’est que la cause de leurs péchés et de leurs transgressions, son animosité envers les gens de la Sounnah , son secours apporté aux hizbis, ceux-là qui combattent la Sounnah et ses gens, leurs dénigrements à l’encontre de la forteresse de la science et des savants, Dammaj, et son sheikh moubârak Yahyâ ibn ‘Aly al Hajoury qu’Allah le préserve de tout mal.

A la lecture de ces choses que nous avons dévoilées concernant la jam’iyyah, est-ce que Abdullah Mar’y l’a conseillée ainsi que sa direction ?

Est-ce qu’il s’est désavoué d’elle tout comme il s’est allié avec elle au début avec ses fatwas et son appui ?

Bien au contraire, nous le voyons s’allier à elle et ses adhérents revenir à lui.

Des vagues de dénigrement contre Dammaj et son cheikh ont déferlé d’al Diss sans que Abdullah Mar’y ne réprouve quoi que ce soit. A tel point que l’un des baramikahs (1) a dit : « Les suiveurs d’al Hajoury sont maudits ! » Et une autre fois il a dit : « Les suiveurs d’al Hajoury sont des chiens ou plutôt sont plus vils que des chiens ! »

Et Abdullah Mar’y prend plaisir à écouter ces diffamations tout comme il prend plaisir à prendre de l’argent de la jam’iyyah. Il se rabaisse même devant eux. Il a d’ailleurs une fois désiré d’eux de l’argent et ils lui donnèrent 30 000r[14]et ils donnèrent à certains responsables 300 000r. L’auteur de la rissalah sur les actes de mendicité d’Abdullah Mar’y(voir ici)

 a dit vrai : Abdullah se satisfait de 10 ou 20r et cela est parmi les bassesses de l’âme :

وَمَنْ يُهِنِ اللَّهُ فَمَا لَهُ مِنْ مُكْرِمٍ

Et celui qu’Allah avilit n’a personne pour l’honorer.

C’était donc un exposé résumé de la réalité de cette jam’iyah et de ses infractions à la législation islamique

Nous lui demandons qu’il nous accorde la sincérité dans les actes et les paroles.

La louange est Allah seigneur des mondes.

Trad. :Abou Taymiyah  Khalil al Martinîky, avec l’aide de son frère de mérite Ayoub Abou Yousouf al Chimâly qu’Allah l’en récompense.

dammaj-fr.com


[1]Ndt: ville à Hadramawt proche de as- Shihr

[2]Ndt: comme l’euro ou le dollar etc.

[3]NDT: par lesquels se cachent les gens du faux

[4]NDT: association

[5]NTD : c’est un des grands fanatiques des frères Mar’y dans cette fitnah actuelle.

[6] NTD= Nous fûmes informés par un frère de Hadramawt, Anis al Hadramy, qu’à l’heure le directeur n’est plus affilié à cette jam’iyyah après démission alhamdulilah.

[7] NdT : Et ceci est l’acte des gens des passions –qu’Allah nous en préserve- qui est de chercher les paroles appuyant leurs actes divergeant de la législation. Ils font le tour des savants qui ont un poids jusqu’à trouver ce qui les intéresse. Les hizbis de toutes sortes utilisent-ils des fatwas de qardawi ou de shaykh ibn baz pour leurrer les gens ?

[8] Ndt: Car tel est le vrai but de la mise en place de ces associations, ramasser de l’argent.

[9]NdT : nous-mêmes les étudiants de leur école, il nous avait été proposé d’investir dans ce projet comme je l’ai rappelé dans mon témoignage de mon séjour à Hadramawt chez ces hizbis

 

[10]Ntd=c’est-à dire que par exemple la barque est à ton nom et lui il la vend à quelqu’un d’autre pour 500 000r en son nom sans que tu ne le saches et il te donne moins que la somme qu’il a récolté.

[12] NTD : al Barmaki ; par apparenté avec Abdurrahman al Barmaki l’inconnu lâche hizbi qui écrit contre Sheikh Yahyâ sous ce pseudonyme mais qu’Allah finit par dévoiler. Son nom est ‘Arafate al Mohammady.

[14]Ndt: Ce qui équivaut à près 100€

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