Archives par date de publication: lun 9 Dhou al qi`da 1436AH 24-8-2015AD

Ensemble de paroles de l’imâm Moqbil al Wâdi’yرحمه الله sur l’interdiction du suivi aveugle (taqlîd) en religion

بسم الله الرحمن الرحيم 

Ensemble de paroles de l’imâm Moqbil al Wâdi’yرحمهالله sur l’interdiction du taqlîd[1] en religion

(Avec les dalîls.)

الحمد لله، والصلاة والسلام على رسول الله.

أما بعد:

Voici pour les apparentés au manhaj de vérité de façon sincère et véridique, le manhaj salafi, des dalîls exposés par cet imâm moujaddid moujâhid démontrant l’interdiction du taqlîd en religion. En effet nous constatons avec grande désolation une grande tombée de nos frères et sœurs dans ce fléau, qu’ils s’imaginent être une chose louable, c’est-à-dire revenir aux individus pour leur renommée ou leur grand nombre et ce, au détriment du suivi des preuves établies, chose qui est purement contraire au Livre et à la Sounnah avec la compréhension des salafs comme le prouvera cette traduction incha Allah. Alors que dire de personnes se vantant d’être étudiants en science durant des années chez les savants, embourbés dans ces marécages et incapables et de s’en dépêtrer, se lançant dans des domaines qu’ils ne maitrisent pas et ne pouvant s’exprimer avec des arguments valables et convaincants ou de se baser sur les règles salafiyahs elles mêmes basées sur des preuves.

On recherche refuge auprès d’Allah contre la jalousie et on lui demande la sincérité dans les intentions et les actes, que nos actes d’adoration ne soient que pour son visage et non pour le prestige ou la réputation ou les biens de ce bas monde et de même qu’il nous rende fermes sur le Tawhîd et la  Sounnah jusqu’à ce qu’on le rencontre.

-Sheikh Moqbil رحمه الله dit du taqlîd :L’imitateur est une personne qui se voit comme un collier autour du cou de celui qu’il imite. Et dans la terminologie, la meilleure définition trouvée est celle de Ibn Hammâm, il a dit : « l’imitation c’est le fait de suivre  celui qui n’est pas une preuve sans avoir pour cela de preuve (sur ce suivi) ».

Fadâih wa nasâih 207.